Surnoms;
&here
Age;
19 ans
Date;
18 février
Lieu;
Séoul
Situation;
célibataire
Orientation;
hétéro
Profession/Etudes;
Sans travail =D
Binôme;
&here pour les anges/humains


Caractère;
Maniaque
Arrogant
Emouvant
Drôle
Bagarreur
Méprisant
Gentil (par moment !)

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Groupe; &here
Prédéfinis; oui - non

3 days before :
Vous entendez le clic clac des ciseaux. Ce bruit résonne jusqu’à vos oreilles, pénètre à l’intérieur de votre corps, s’y enfonce profondément.
C’est absolument insupportable.
Les mèches de mes cheveux noirs cendres tombent sur mon jean Kaporal en rythme avec le désagréable crissement émit par la coiffeuse. Je me mords la lèvre inférieure en fermant les yeux le plus fort possible. De toute manière, c’est presque terminée. La femme me donne enfin son dernier coup de peigne et rajoute un peu de gel à ma coiffure. D’après le gloussement qu’elle laisse entendre, j’en déduis qu’elle est contente de son travail. Une deuxième coiffeuse se penche donc vers moi, son souffle se faisant sentir sur mon échine. Quelle vieille mégère, répugnant…
Elle me caresse le visage de ses longs ongles manucurés puis me force à regarder la glace. Mon image se reflète juste en face de moi. J’observe cette personne au regard sombre, cheveux noirs de jais et sourire enjôleur. N’est-ce pas étrange de se dire que l’on se trouve beau ? Et bien, que le monde le prenne comme il lui convint, JE suis Magnifique, Splendide, Eblouissant !
Je me lève brusquement du fauteuil de cachemire bordeaux pour approcher de plus près mon autre moi. Cinq minutes après précisément, j’avais enlevé la blouse blanche dont on m’avait vêtu une heure auparavant.
Les deux coiffeuses me lancent des regards langoureux. Mais qu’est ce que j’y peux, franchement. Je leur balance l’habit singulièrement et sort de mon salon privé. Brusquement, me voila revenu dans les rues de Séoul. Un taxi passe, je le prends de suite…
Ma vie, elle se résume exactement à sa : Moi en costar cravate et le reste du monde.

Je suis né dans un milieu aisé, enfin bon, dire aisé ne serait peut être même pas le mot approprié. Mes parents sont les leaders d’une des plus grandes fabriques de pétrole du Japon. Et c’est la que l’on me demande « Mais que fais tu en Corée ? ». Pour faire simple, oui, je suis japonais, un pur, un dur. Ma famille immensément riche a décidé d’investir dans ce pays il y a quelques mois de cela. Ma mère très attentive à mes moindres mouvements eus tout de même soudainement peur que je quitte mes amis. J’ai repoussé ses inquiétudes de suite, puisque je n’en ai aucun. Si on ne compte pas les toutous intéressés pas ma fortune, bien sur. Depuis ma plus tendre, hmmm, terrible enfance, je n’ai jamais aimé personne, à part … et mon chien. Avant qu’il ne se fasse écraser sous mes yeux à ma sortie de l’école primaire, la aussi évidemment. Il s’appelait Bobor. Ce nom, il a de la classe. Il est simple à retenir et a ce petit truc que n’ont pas les autres. Je dis sa, moi, mais après chacun ses goûts. Mes parents ne sont presque jamais là et je vis donc la plupart du temps chez ma grand-mère. Quelle ironie, me direz vous. Non, chez elle, ce n’est pas du tout petit et cela ne sent pas le renfermé. Au contraire, je pense que sa « maison » est plutôt … un château ? Un palace ? Qui sais !
Enfin bref, pas de quoi en faire toute une histoire …

2 days before :
J’étouffe. Je sens le couteau pressé contre ma poitrine. Je n’arrive plus à respirer. J’ai faim. J’ai soif.
Je vais crever …
J’ai surement oublié de préciser une chose importante lorsque je racontais mon histoire. Il est vrai que je n’ai pas beaucoup d’amis, mais on peut dire que j’ai pas mal d’ennemis. Pour faire simple, je suis gosse de riches, on l’avait bien compris. Et en tant que gosse de riches, justement, il n’y a pas beaucoup de choses qui me sont refusés. Sauf peut être le « chéri, ne fréquente pas de gens à problèmes, il ne faudrait pas que notre compagnie en paye les frais ». Peut être que je ne l’avais pas dit aussi, mais mes ambitions personnelles passent avant tout. Au japon, je fréquentais une grande école pour les futurs chefs d’entreprises. Cet endroit, je le détestais. Là bas, on me rabâchait du « monsieur Toboe » à longueur de journées !
Oh, c’est vrai, je n’avais pas encore donné mon nom. Et bien, qu’est ce que ce sera lorsque je citerai mon prénom !
Bon, comme sa, en gros, on pourrait penser que j’étais malheureux.
Je l’étais …
Je me répète, personne ne m’aime, et je n’aime personne.
Mais ici encore une fois, je me faisais des illusions.
Car j’ai rencontré Candy, ce jour là.

Je suis une personne capricieuse, et je ne m’en cache pas. Ce mardi douze avril, je ne voulais pas aller en cours, tout simplement. J’ai donc passé un « engagement » avec le vioque (le principal). J’avais donc la permission spéciale de rester dans le gigantesque parterre de roses de l’école jusqu’à midi environ.
J’apprécie la présence des fleurs et leurs senteurs à mes côtés. Lorsqu’un pétale s’envole avec le vent, je m’imagine prendre sa place. Je serais libre, et je partirais loin, peut être même dans les nuages. Quoi que, même les nuages ne sont pas assez classe pour accueillir chez eux un mec aussi cool que moi !
Reprenons. En tout les cas, ce douze avril, j’avais décidé de m’allonger dans l’herbe sous un groooooooooooos chêne. Le soleil tapait fort et je voulais être à l’ombre. J’étais enfin seul. Ensuite, je me souviens avoir fermé les yeux …
C’est à ce moment là qu’elle est arrivée.
- Tu n’as pas peur d’attraper une insolation ?
Ce fut la première fois que Candy m’adressais la parole. Elle m’a de suite fasciné. Était-ce de l’amour ? Je ne crois pas. C’était … différent.
Nous n’avions absolument rien en commun. Cette fille était insouciante, voila le mot. Elle faisait partie d’un gang célèbre des rues de Shibuya. Elle m’a raconté sa vie, je lui ai décrit la mienne. Je pense que si nous nous sommes rapprochés aussi facilement, c’est que nous étions tout deux des rebuts de la société. Le monde n’avait pas de place pour nous. Ce jour là, elle séchait. Plus tard, Candy me dit qu’elle me connaissait depuis bien plus longtemps que ce que je croyais. Mais nous n’avons plus jamais abordés le sujet. Sa famille travaillant à l’étranger, elle aussi vivait chez ses grands parents. Comme quoi qui se ressemble s’assemble !
Elle était jolie. C’était une européenne, une fille de petite taille aux grands yeux noisette et aux cheveux blonds bouclés.















Nous attendons ici que vous racontez toute l'histoire de votre personnage jusqu'à présent : la naissance, ce qui s'est passé dans sa vie (les éléments ayant marqués votre personnage d'où il reste peut-être quelques séquelles) : tout jusqu'à aujourd'hui. Enfin tout... ne détailler quand même pas le moment de sa naissance, ou sa première fois x.x Que des détails important si vous le voulez Mais aussi, les traits de son caractère. Tout cela en 20 lignes minimum sous la forme que vous voulez. Courage. ♥