J’y croyais pas, je me retrouvais là avec une demoiselle, très jolie et qui avait du répondant. J’y croyais quand même pas que j’avais réussi à me foutre du coca sur moi, on aurait dit un gosse de 4 ans qui buvait pour la première fois à la canette… J’étais torse nu devant elle, un homme et femme dans une pièce dont la chaleur montait un peu plus à cause des machines à laver … Drôle de contexte pour une première rencontre ne trouvez vous pas ?

J’avais peut être choqué la jeune demoiselle mais elle était entrain de me prendre purement et simplement pour un monstre assoiffé de sexe, j’aimais les femmes et leur donner du plaisir mais assoiffé de sexe certainement pas, j’avais sans doute laissé une mauvaise impression de départ mais j’étais resté moi-même et cela personne n’aurait pu me le reprocher. Au diable vaut vert il me fallait des explications même si j’étais un homme d’action. Je la trouvais jolie mais depuis ma séparation avec Nao j’avais banni le mot couple de mon vocabulaire, j’avais eu du mal de me relever de cette épreuve, j’avais trouvé une famille avec les yakuza et Satoshi était comme un frère pour moi, même si j’étais devenu son bras armé je l’appréciais beaucoup. Grâce à lui je pouvais me battre assez souvent, je gagnais pas mal d’argent et je rencontrais du beau monde. Nao avait voulu qu’on recommence notre histoire après que je la chauffe un peu et que je lui fasse l’amour dans ma chambre. Comme la première fois cela c’était fini par des disputes des crises de jalousies et une ruptures. Elle m’avait trompé avec Matsumoto Jun alias la diva, la princesse ou encore matsumoche du groupe Arashi, cinq crétins qui chantaient enfin chanter est un grand verbe pour eux je dirais plus miauler pour les minettes … J’avais eu juste une aventure depuis ce jour là et j’avais trouvé en Nali une sex friends parfaite, nous nous voyions juste quand nous avions envie, pas de je t’aime, pas d’obligation juste deux adultes qui voulaient prendre leur pieds en passant du bon temps ensembles. Je ne voulais plus trop retomber amoureux en tout cas pas tout de suite. Ma vie actuelle me suffisait largement, je pouvais penser au basket et me foutre une cuite quand je voulais. La demoiselle mis un peu de temps à me répondre, «Blessée? Oui, c'est vrai. Mais de toute façon, ça ne compte pas n'est ce pas? Les gens considèrent que parce que je suis une adolescente encore, mes sentiments ne peuvent pas être réellement sincères. C'est faux, je suis moi aussi capable d'aimer comme une grande... mais à quoi ça sert si on se fait trahir par celui qu'on aime? On passe plus pour une imbécile qu'autre chose. Je n'ai pas envie de jouer la victime mais ce n'est pas qu'une légende, les hommes sont bien tous pareils. Désolé, c'est pas contre toi, ne le prend pas mal mais.. je pense pas être capable de changer d'avis. Et merci pour le compliment puisque tu as l'air d'y tenir... »  Merde j’avais vu juste elle en avait bavé et pas un peu. Après ce petit discourt je fronçais les sourcils et soupira une fois pour lui répondre :

« J’aurais du me taire là. Détrompe toi, cela compte, en tout cas pour moi ! Les gens tu dois t’en contre foutre, laisse les baver et emmerde les ! L’amour ne se commande pas, il y a pas une règle qui dit que tu dois tomber amoureux à partir de la majorité ! Alors oui tu peux avoir sincèrement aimé . Celui qui t’a trahi est un beau salop ! Je vais te surprendre mais j’ai été moi-même aussi trahi par celle que j’ai aimé sincèrement, j’étais fou d’elle et elle est partie pour … pour cette merde cet idole … Je le prends pour moi car ta première impression sur moi est que je suis qu’un mec qui pense qu’au cul ! Ouais j’y tiens car je le pense tout simplement, je suis pas un beau parleur mais un mec franc ! »
Je lui fis un clin d’œil pour lui montrer que j’étais ce que je venais de lui dire. J’en avais profité pour me présenter et elle aussi même si cela avait été bref, mais qu’importe elle l’avait fait, je faisais un peu mon casse pieds pour l’amuser et apprendre à la connaitre un peu indirectement, non pas que je tombais amoureux mais juste envie de la connaitre purement et simplement. Elle était calme mais je voyais que je l’emmerdais en même temps car elle ne décollait pas les yeux de sa fichue revue pour me répondre « Tu comptes me demander des explications à chaque fois? Non parce que... c'est pas que ça me dérange hein... mais en fait si, carrément quoi. J'ai pas à me justifier. Tu fais connaissance avec tout le monde que tu croises toi? Moi non désolé. Et puis qui parle d'adulte? Ici je n'en vois qu'un, toi. En plus là il est tard, j'ai plus vraiment envie de parler. » Who surprise pour moi un petit volcan entrait en éruption là, je souriais j’avais atteints mon but a savoir détourner son attention de sa presse people ou la sale tête d’aramon apparaissait encore, il avait du pisser sur son froc ou un truc dans les genre …

«  Je t’emmerde ? En effet t’as pas à te justifier mais je voulais te connaitre un peu plus c’est tout, c’est bon je vais fermer … Après tout non c’est pas mon style, alors oui et non je comptais te demander encore un truc mais oublie … Moi j’en vois deux Miyabi toi et moi désolé mais pour moi une fois qu’on est à Todai c’est qu’on est adulte ! Extinction des feux et tout le monde au lit ? Laisse moi rire, je suis certain que tu aimerais continuer a parler ! »

Ou pas et faire d’autres choses, je souriais encore malgré le verbe dur, les mots grinçants que je venais d’employer. Je lui parlais encore alors que je venais de me rapprocher et que j’avais descendu son magasine du doigt, maintenant elle me regardait, je m’acharnais un peu mais je sentais une envie monter en moi « Nan mais... va pas croire! =.= Des hommes à moitié nus j'en ai déjà vu à la pelle, je disais juste ça pour la forme. Par contre toi tu t'es encore rapproché.... et avec un corps bien bâti, tu pourrais faire tourner la tête à beaucoup je pense.... ou presque. » Pour une qui avait plus envie de parler elle avait encore un beau discours.

«  J’en doutais pas une seconde, tu sais, je voulais te faire réagir tout simplement … Oui je me suis rapproché … Merci pour le compliment mais qui te dis que c’est pas à toi que je veux faire tourner la tête ? Est-ce que j’aurais une chance ? »

Je ne lui avais pas laissé le temps de finir sa phrase que j’avais foncé sur ces lèvres pour lui voler un premier baiser, elle aurait pu croire que j’allais rester sage mais non c’était mal me connaitre, elle me regarda étonnée, surprise et elle sourit quand je lui demandais si je pouvais recommencer mais cette fois avec son autorisation. La demoiselle rapprocha ses lèvres des miennes nous allions échanger un second baiser mais au dernier moment, elle passa sa main entre nous et se recula un peu de moi pour me chuchoter d’une très douce et très agréable voix « Rêve pas trop. Si ça avait été mon premier baiser, oui j'aurais été perturbée. Mais ce n'est pas le cas donc non, tu as raté ton coup mon grand. je t'aurais bien dis de retenter plus tard mais je ne sais pas vraiment si moi même je serais tentée alors je préfère ne pas te donner d'espoir ~ » Moi rêver ? Jamais la vie était dure et je savais que réaliser ses rêves était mission impossible sinon je serais déjà en Nba entrain d’affronter les lakers de L.A ou autre Chicago bulls, doucement je passa mes mains et mes bras autour de la fine taille pour l’enlacer et je commençais à lui dire en gardant la distance qu’elle nous avait imposé :

«  Si rêver n’est plus permis, pourquoi vivons nous encore ? J’aurais tenté au moins, mais j’ai apprécié ce bref baiser ! » j’avais tellement apprécié que je me mordais la lèvre pour garder cette distance et puis merde j’avais mes mains dans son dos et j’avais pas encore pris de baffes après ce premier contact entre nos lèvres je rapprochais cette fois mon visage doucement entre ouvrant mes lèvres un peu plus mais je n’entra pas en contact avec ses lèvres, au dernier moment j’avais commencé a embrasser doucement son cou

«  Qui … te … dit … que … je … me … fais … de … faux … espoir … ? »

J’avais ponctué chacun de mes mots d’un baiser dans le cou de la belle et le dernier avait été déposé sur ces lèvres avec lesquels je restais en contact laissant aller ainsi un peu ma langue doucement glisser sur ses divines lèvres.